Shirô, un fabricant de parapluies et ancien maître d'armes de l'ombre, rencontre Kôjirô, un lieutenant de police au sang chaud et amoureux de justice. Ils se retrouvent tous les deux confrontés à une série d'enquêtes étranges et rocambolesques dans les bas quartiers de leur ville…

Je peux enfin continuer mon aventure dans cette série avec ce tome 9. Une histoire plus sombre qu’il n’y paraît. Toujours aussi loufoque jusque sur la couverture intérieure. Dans cet opus, nous suivons encore une fois nos protagonistes Shiro et Kojiro dans des enquêtes, tout en poursuivant le fil conducteur de l’intrigue principale.

Surprise par le taux assez bas de combat, mais c’est parce que l’on embranche sur un nouvel arc de l’histoire. Comme d’habitude, je me suis bien amusé pendant ma lecture, entre le running gag récurrent de Shiro et Kojiro et les autocensures de l’autrice dans certaines scènes. Plus le caractère d’Anri qui s’ajoute à tout ce cocktail. C’est explosif, divertissant et très drôle, enfin pour moi.

Les graphismes sont toujours aussi magnifiques, les détails apportés aux tenues sont éblouissants.

En conclusion, encore un très bon tome que j’ai dévoré. Par contre, je suis un peu frustré que les tomes 14 à 17 ne soient toujours pas publié chez nous depuis 2020. Aucune nouvelle de l’éditeur. Si à la fin de cette année rien ne se passe, j’essaierais de me procurer la version italienne qui est à jour. J’aurais préféré la version anglaise, mais elle a été arrêtée bien avant la nôtre.