Depuis des siècles, les mondes de l'acumen vivent sous la coupe de la dynastie Combrail. Dès la naissance le statut de chaque habitant est gravé dans les replis de son ADN. Chacun fait partie d'une hiérarchie sociale immuable. Avec, au sommet, le Prime Garant Bosmor, et tout en bas de la pyramide des castes, des milliards de caires.

Quand Bosmor est victime d'une tentative d'assassinat, héritiers potentiels et ambitieuses multimondiales s'affrontent de plus en plus ouvertement. Mais pourquoi chaque faction désireuse de s'emparer du pouvoir veut-elle mettre la main sur Palestel, l'insignifiant caire ?

Traqué de toutes parts, il va devoir mener son enquête à travers l'acumen... mais d'abord, sauver sa peau.

Petit retour dans la science-fiction avec ce volume unique. Première surprise, ce n’est pas si jeunesse que ça, je dirais plus vers 13/14 ans. La couverture est magnifique et donne envie de s’y plonger.

Premièrement, j’ai trouvé la construction de ce monde, la politique plutôt bien faite. On s’imagine parfaitement comment cet univers est régi par la force dirigeante et comment la population vit. Cela ressemble au système de caste que l’on a dans certains pays de chez nous. Ce côté-là est vraiment intéressant mais pas autant exploité que je l’aurai voulu.

Deuxièmement, mon bémol sera pour des éléments qui ont eu un impact mineur sur ma lecture. Déjà le personnage principal Palestel, ne vous attendez pas à un héros en devenir. C’est plutôt un sac à patates que l’on transporte d’un endroit à un autre. Le fait aussi que les méchants arrivent en un claquement de doigts a retrouvé notre personnage dans tout l’univers… Et bien sûr, la fin, je me suis dit tout ça pour ça. Je m’attendais à quelque chose de plus fort, plus percutant. Eh non.

Cependant, cela ne m’a pas empêché d’apprécier ma lecture grâce à l’ambiance générale et l’univers dépeint dans cet opus.

Pour conclure, malgré quelques petits défauts, j’ai passé un bon moment de lecture. Ce one shot est une bonne entrée en science-fiction pour les ados mais aussi les adultes.

Je suis ravie de continuer mon aventure à Londres avec ce second tome. Ayant été agréablement surprise par le premier opus, c’est sans appréhension que je me suis plongé dans cette suite.

J’ai été heureuse de retrouver Alex et sa boutique, même si celle-ci a encore souffert. J’ai eu un peu plus de mal avec Luna cette fois-ci, même si je comprends ses désirs par rapport à sa particularité, j’ai cru avoir affaire à une enfant qui n’en faisait qu’à sa tête. Elle s’est rattrapée mais j’avoue qu’elle a baissé dans mon estime. J’adore toujours autant Arachné et son magasin de vêtements.

Pour Alex, sa façon de narrer ce qu’il se passe avec cette autodérision et ce sarcasme me plaît toujours autant. On vit vraiment toute cette nouvelle affaire comme si l’on y était. C’est toujours fluide et rondement mené. Bien sûr, certains autres personnages ne sont pas en reste comme Sonder et Cendre.

Concernant l’intrigue. On se doute bien que quelque chose cloche, que les apparences sont trompeuses et c’est divertissant de voir toutes les pièces du puzzle se mettent en place. L’action n’est pas en reste, ça bouge, ça explose. Bref, la vie de notre mage devin n’est toujours pas de tout repos.

Pour conclure, j’ai adoré ce deuxième tome. Dès que l’on plonge dedans, impossible de s’en détacher. Certaines réflexions d’Alex m’ont bien fait rire. Mais aussi, on découvre que parfois la lumière est aussi sombre que les ténèbres.

Megan est une vraie passionnée de foot, pleine d'ambition. Pas vraiment le profil de la fille " girly ". Alors, quand sa belle-mère l'inscrit en secret à la saison des Débutantes, elle se fait vite remarquer par son attitude quelque peu... décalée.

Si elle ne veut pas décevoir son père, elle a un mois pour prouver qu'elle sera à la hauteur du bal de fin d'année : apprendre les pas de danse, maîtriser les bonnes manières et la révérence à la perfection. Comme toute demoiselle texane respectable.

Or, les robes à froufrous et les talons sont bien loin de son combo jean-baskets habituel. Et elle va vite découvrir que son nouveau rôle de débutante rime aussi avec rivalité et faux-semblants. Mais Megan ne compte pas se faire fouler l'herbe sous l'escarpin...

Le Young Adult et moi nous ne sommes pas très amis et rare sont les livres de ce genre qui ont grâce à mes yeux. Je ne sais pourquoi, celui-ci s’est retrouvé dans ma pal et j’ai enfin pu me plonger dedans.

Dans l’ensemble, ma lecture a été agréable, c’est une histoire qui se déroule au Texas où des jeunes femmes de bonnes familles vont faire leur début dans la société. Cela enchante tout le monde sauf Megan qui préfère participer aux matchs de foot avec son équipe que porter des robes à frou-frou et poser comme une poupée de porcelaine. Malgré tout pour faire plaisir à sa mère (et non à sa belle-mère comme écrit dans le résumé), elle accepte à contrecœur de participer avec sa jumelle Julia qui elle est ravie.

Les personnages sont presque tous sympathiques, cela sent bon l’Amérique d’un autre temps avec un soupçon de valeurs familiales. Le scénario est cousu de fils blancs. Pas vraiment de surprise mais ce récit est parfait pour s’aérer la tête et passer un moment de détente. Mon seul bémol, la partie de chasse pour le repas d’un des événements.

Pour conclure, ce n’est pas l’histoire la plus sensationnelle que j’ai lue. Malgré tout, j’ai passé un bon moment sans prise de tête. Il se lit tout seul et le récit est plaisant.

Fan de Fantasy, de MMO, de RPG et ayant un peu goûté au jeu de rôle. C’est naturellement que j’ai été attiré par l’univers des Terres d’Arran, en particulier du côté des Mages qui me parlent beaucoup (Étant une magicienne dans tous mes jeux).

Tout d’abord, la couverture que je trouve magnifique avec ce petit côté celte dans les arabesques. Le style graphique me plaît beaucoup sachant que je suis très difficile sur ce point. Les couleurs sont adéquates, le trait fin. J’ai pris mon temps pour regarder les détails de certaines planches. Les personnages et les paysages sont en adéquation avec ce que j’imaginais.

Concernant l’histoire, elle est basique dans ce genre d’univers mais je me suis prise au jeu et page après page, mon intérêt grandissait. En particulier pour Shannon, cette petite fille énergique, fouineuse et attachante. Tyrom fait office de gros nounours protecteur qui aime la solitude. Ce que j’ai apprécié, c’est que cette histoire se déroule en un seul tome. On a un début et une fin pour ce chapitre de la série. Du peu que j’ai découvert, le lore et tout l’univers des Terres d’Arran semblent immenses. La carte du monde y est pour beaucoup.

Pour conclure, j’ai adoré ma lecture. Ce premier tome regroupe ce que j’aime lire, les univers de fantasy que j’aime parcourir. J’ai hâte de revoir Shannon et peut-être Tyrom dans le tome 5 mais pour ça, il faut déjà que je lise les volumes 2, 3 et 4. Les Terres d’Arran ont su me captiver et l’aventure n’est pas finie pour moi.

At Montverre, an exclusive academy tucked away in the mountains, the best and brightest are trained for excellence in the grand jeu: an arcane and mysterious contest. Léo Martin was once a student there, but lost his passion for the grand jeu following a violent tragedy. Now he returns in disgrace, exiled to his old place of learning with his political career in tatters.

Montverre has changed since he studied there, even allowing a woman, Claire Dryden, to serve in the grand jeu’s highest office of Magister Ludi. When Léo first sees Claire he senses an odd connection with her, though he’s sure they have never met before.

Both Léo and Claire have built their lives on lies. And as the legendary Midsummer Game, the climax of the year, draws closer, secrets are whispering in the walls…

J’avoue c’est la couverture et son prix attractif qui m’a d’abord fait m’intéresser à cette histoire. Puis le résumé qui m’a convaincue que ce livre pouvait me plaire.

Cela ne s’est pas tout à fait passé comme prévu. Et je ressors mitigée de cette lecture.

Concernant le travail sur le visuel extérieur du livre, rien à dire, il est magnifique et c’est un superbe objet livre. Par contre, l’intérieur n’a pas eu le même effet. Je m’attendais à autre chose concernant ce récit et plusieurs choix scénaristiques ont douché mon enthousiasme.

Déjà le plus déconcertant est le nombre de chapitres qui se déroulent dans le passé de Léo lorsqu’il était encore étudiant à Montverre et sa relation avec Aimé Carfax. Ces passages sont extrêmement longs et n’apportent de mon point de vue qu’un apport très relatif au reste de l’histoire.

Dans le présent, c’est plus intéressant. On est dans une société régressive. L’école de Montverre n’est réservée qu’aux garçons et en plus le gouvernement actuel vient de publier une « purity law » très restrictive. Et commence une sorte de chasse aux sorcières contre la population chrétienne et autre. Interdiction d’accès à certains métiers, éducation… Mais aussi une répression contre ceux qui expriment tout haut la dictature qui se met en place.

Le seul événement marquant pour moi, c’est la révélation d’un secret dont je n’avais vu aucun indice lors de ma lecture, j’ai été agréablement surprise pour le coup.

Malheureusement, les dernières 100 pages m’ont de nouveau refroidie, je m’attendais à autre chose et au final, c’est une fin grande ouverte qui ne m’a pas plu qui clôture cet ouvrage.

Je continue mon périple dans cette série avec ce tome 21. Plus que 9 et je serais enfin à jour.

Nous abordons ici la suite et avant dernière partie de l’histoire qui se déroule en Allemagne. L’organisation « Wolfschlucht » est démasquée et notre troupe tente aussi bien de s’échapper de ce guêpier que de mettre fin aux agissements de ces étranges habitants.

Encore une fois, le déroulé de l’histoire est très dynamique et violent. Les dessins sont magnifiques et j’ai été heureuse de découvrir d’autres souvenirs de Ciel à une époque encore douce pour lui. Dans ce volume-ci, les domestiques de notre jeune héros sont bien mis en avant et cela fait plaisir car même si j’aime beaucoup Sebastian. Finnian, Bard, Tanaka et May Linn méritent aussi d’avoir une présence plus accrue dans cette série.

Pour conclure, ce tome 21 ne fait pas exception à la règle et je l’ai dévoré rapidement. J’ai hâte d’avoir le tome 22 en main et de savoir le fin mot de cet arc et de découvrir le bonus concernant le concours de popularité. Black butler est toujours une très bonne série qui vieillit bien.

Le capitaine Malo Sinclair et son inséparable adjoint, l'incontournable Albert, exercent leurs talents à Paris. Lorsque le cadavre d'une jeune femme est retrouvé dans la Seine, on leur confie l'enquête. Car notre capitaine connaissait la victime. Ancienne camarade et amante, Marie appartenait à l'une des plus vieilles familles aristocratiques françaises. Dévasté par le drame, Malo est convaincu qu'il ne s'agit pas d'un suicide. En se lançant dans ses recherches, le duo infernal découvre que les monstres à l'origine de la mort de Marie n'en sont pas à leur coup d'essai et que toutes leurs proies gravitent au sein du même milieu. Pourtant, plus leurs investigations avancent, plus le mystère semble s'épaissir... Notre capitaine commence à soupçonner que cette affaire ne menace pas seulement quelque jeunes aristocrates, mais la république toute entière. Est-il encore temps de tout arrêter ?

Depuis le temps que j’attendais une suite après un Pape pour l’apocalypse. C’est ravie que je me suis enfin plongé dans cette nouvelle enquête hors norme de notre capitaine Malo Sinclair et de l’inséparable Albert.

Cette fois-ci, nous sommes à Paris où Malo à repris son poste accompagné de son nouveau subordonné. La vie est routinière dans la forme mais dans le fond avec un Albert, il y a toujours quelque chose de plus.

J’ai apprécié de découvrir un peu du passé de notre capitaine avant qu’il ne devienne policier. De la dimension émotionnelle que représente cette affaire pour lui. J’avoue que je me suis amusé pendant une bonne partie de ma lecture grâce à Albert et son comportement. Et suis resté captivé par l’intrigue car je voulais à tout prix savoir ce qui se tramait dans cette sphère aristocratique vieux jeu.

Mon seul bémol est que tout du long, l’auteur nous sort le Cantal à tout bout de champ pour expliquer le gabarit d’Albert, sa façon d’être, la gastronomie et compagnie. Au début c’est sympa voire drôle. Après 50 pages, c’est gonflant et ennuyeux.

Malgré cet élément, j’ai beaucoup aimé ma lecture et l’intrigue qui m’a happée du début à la fin. J’ai été heureuse de revoir Malo et Albert dans un nouvel environnement même si très urbain. J’espère qu’il y aura un troisième tome et que celui-ci ne mettra pas 3 ans à sortir comme cet ouvrage-ci.