Seigneur et Maître
Auteurs: Margo Maguire
Pages: 320
Sortie: 1er Avril 2020
Editeurs: Harlequin/ Harper Collins france
Format: Broché
Langue: Français
Pages: 320
Sortie: 1er Avril 2020
Editeurs: Harlequin/ Harper Collins france
Format: Broché
Langue: Français
Résumé:
Écosse 1300
Immobile devant une haute fenêtre en ogive, le sire Adam Sutton contemplait sombrement la mer. Pourquoi avait-il cédé aux prières de son sénéchal et consenti à se fiancer avec Christiane Mac Diubh avant même de la rencontrer ? Certes, il lui fallait songer à se remarier. Mais de là à convoler, lui, un Anglais de pure souche, avec une Écossaise…
Avis:
Petit retour dans la romance historique avec cette histoire qui affiche près de 20 ans d’âge. Une lecture pour me détendre, sans prise de tête.
Personnellement, le titre est complètement hors sujet par rapport à l’histoire. Il y a bien Adam en seigneur de l’île de Désespérance mais c’est tout. Cela se voit que le texte date un peu dans le style mais j’ai trouvé ça dépaysant. Pour les personnages, Christiane est une jeune femme très courageuse face à autant d’hostilité venant aussi bien des gens de son village que des gens de Désespérance. Margaret une petite fille qui mérite beaucoup d’amour et Adam, de trouver le bonheur.
Quant à l’intrigue, elle ne concerne que la romance et l’évolution de la relation entre les différents personnages. C’est un récit qui vogue tranquillement du début à la fin. Ce que j’ai aimé également, c’est la façon dont est montrée la discrimination d’une personne, à savoir Christiane aussi bien de la part des Écossais que des Anglais alors que la jeune femme partage les deux origines. Chacun juge sur le « sang » ennemi même si la personne en face n’a rien à voir avec les pertes et la situation politique actuelle. Concernant Gérard, c’est un personnage qui aurait dû se faire punir il y a bien longtemps, pour le coup, Adam a été laxiste.
Pour conclure, ce n’est pas l’histoire la plus transcendante que j’ai lue mais cela m’a fait passer un moment tranquille, sans prise de tête. Un petit goût de nostalgie.
Personnellement, le titre est complètement hors sujet par rapport à l’histoire. Il y a bien Adam en seigneur de l’île de Désespérance mais c’est tout. Cela se voit que le texte date un peu dans le style mais j’ai trouvé ça dépaysant. Pour les personnages, Christiane est une jeune femme très courageuse face à autant d’hostilité venant aussi bien des gens de son village que des gens de Désespérance. Margaret une petite fille qui mérite beaucoup d’amour et Adam, de trouver le bonheur.
Quant à l’intrigue, elle ne concerne que la romance et l’évolution de la relation entre les différents personnages. C’est un récit qui vogue tranquillement du début à la fin. Ce que j’ai aimé également, c’est la façon dont est montrée la discrimination d’une personne, à savoir Christiane aussi bien de la part des Écossais que des Anglais alors que la jeune femme partage les deux origines. Chacun juge sur le « sang » ennemi même si la personne en face n’a rien à voir avec les pertes et la situation politique actuelle. Concernant Gérard, c’est un personnage qui aurait dû se faire punir il y a bien longtemps, pour le coup, Adam a été laxiste.
Pour conclure, ce n’est pas l’histoire la plus transcendante que j’ai lue mais cela m’a fait passer un moment tranquille, sans prise de tête. Un petit goût de nostalgie.
⛨⛨⛨⛨/5
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